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Face à ses oeuvres on ne peut que tomber sous le charme de cet univers heureux et coloré, respirant le bonheur simple et apaisant. On a trop vite oublié celui qu’Apollinaire décrivait comme « le peintre voluptueux », pourtant essentiel dans l’histoire de la peinture française du XXe siècle, Henri Manguin ( 1874-1949) qui sera mis à l’honneur lors de la première vente en salle organisée par l’étude Yellow Peacock le 18 octobre prochain à Drouot. L’huile sur toile, dénommée « L’allée à Château Martin, Saint Tropez, Automne 1919 » et expertisée par le cabinet Chanoit sera le lot phare de cette vente.
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L’allée à château Martin, Saint Tropez, Automne 1919. Henri Manguin. Huile sur toile marouflée sur carton.
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SAINT-TROPEZ OU LE PARADIS DES COULEURS
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De retour à Paris, il participe avec ses mêmes amis à un moment que l’on considère a posteriori comme fondateur dans l’histoire de la peinture française du XXe siècle, un autre mouvement de libération de la couleur après l’impressionnisme : la naissance du fauvisme. On connait la célèbre anecdote à l’origine du nom de ce groupe de jeunes peintres : en 1905, au salon d’Automne, le critique Louis Vauxcelles remarque une sculpture classique au milieu de la salle où sont présentés les tableaux des jeunes fauves et s’exclame « C’est Donatello parmi les fauves » .
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« LE PEINTRE VOLUPTUEUX » ( GUILLAUME APOLLINAIRE)
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L’oeuvre signée a été acquise de Henri Manguin par Madame Druet en 1921 et porte l’étiquette de la galerie au dos « Galerie Druet, 20 rue Royale Paris, N 9403 ». Elle a d’ailleurs été exposée en 1921, l’année même de son achat et figure au catalogue raisonné de l’oeuvre du peintre. Estimée entre 10 000 et 15 000 euros elle devrait certainement ravir le coeur de plus d’un collectionneur le 18 octobre !
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