Brora 1972 22 years old – Rare Malts Selection – WF97 – Original bottling – b. 1995 – 70cl – enchères

Attention, bouteille d’exception, la préférée du célèbre Serge Valentin ! (Critique du monde du whisky avec une vraie franchise et qui ne donne jamais de bonne note sans une réelle conviction)
Brora 22 ans, Edition Rare Malt Selection, distillé en 1972 et mis en bouteille en 1995
58,7% – 70cl – Brut de fût naturel – Mise en bouteille limitée – Single Malt

Remarques / Défauts identifiés :
– Le tout en bon état

Attention:
Les bouteilles sont envoyées protégées, bien emballées et assurées. Chaque défaut est présent en photo.
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La couleur du liquide n’est pas contractuelle, peut varier légèrement entre la réalité et l’appareil photo.

L’un des désormais légendaires Brora 1972 embouteillé par Diageo dans le cadre de la série Rare Malts, qui a véritablement déclenché l’explosion d’intérêt pour cette distillerie disparue. 1972 est considérée par les experts comme une année miracle pour Brora, et cette version particulière vaut à l’expert Brora Serge Valentin la note la plus élevée jamais obtenue, avec 97 points :

SERGE VALENTIN (97)
Le malt qui règne toujours en maître sur ma liste des « embouteillés récemment » – bien qu’avec un autre ABV, mais il rejoindra la « liste des anciennes bouteilles » plus tard cette année, où il devra se battre contre de vieux stupéfiants de Springbank et Bowmore… Quoi qu’il en soit. , allons-y maintenant. Couleur : or pâle. Nez : ha, celui-là est encore plus austère que le Port Ellen ! Aiguisé comme une lame, sur de la fumée tourbée pure et de la bière, avec quelques notes de pommes acidulées. Beaucoup d’algues et d’iode se développent au bout d’un moment, accompagnés de quelques cendres froides, de vinaigre balsamique et peut-être de quelques odeurs de chien mouillé. Absolument magnifique, exactement à mon goût ! Et c’est tellement propre… Alors résumons pour le moment : 1er le Brora, 2ème l’Ardbeg, 3ème le Port Ellen. Mais ils sont tous superbes ! Bouche : oh oui ! Encore une fois, pas mal de douceur dès le début – l’alcool encore – mais ensuite il y a une belle explosion de tourbe avec beaucoup de sel (que je n’ai pas eu ni dans l’Ardbeg ni dans le Port Ellen). Il devient ensuite de plus en plus salé, avec quelques notes de chêne, beaucoup de notes poivrées, encore un peu de citron et pas mal d’épices comme le clou de girofle et le piment. Quelques notes de moutarde, de thé vert, de wasabi… C’est en fait plus complexe que l’Ardbeg et le Port Ellen. Même si, encore une fois, c’est très austère. La finale est extrêmement longue, sur le sel et le thé fort non sucré. Eh bien, peut-être comme le Port Ellen, celui-ci est un goût acquis. Ce n’est pas immédiatement attrayant comme l’Ardbeg, et certainement plus « difficile ». Mais quel grand whisky ! Je vais lui donner 97 points. – Attention ! Fin des enchères : 2024-07-20 20:01:00+00:00

UGS : 4c150dda7a50 Catégorie :

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